Quand Faustin Archange Touadéra, pactise de nouveau avec les bourreaux de son peuple

Le Président Faustin Archange Touadéra vient de signer un nouvel accord avec les chefs de guerre Bobo du 3R et Ali Darassa de l’UPC, deux figures tristement célèbres pour avoir semé la terreur et endeuillé des centaines de familles centrafricaines au fil des années. Cette décision soulève des questions légitimes : le Président Touadéra se moque-t-il des souffrances de son peuple, massacré par ces groupes armés qualifiés d’enfants de Satan ?

À l’approche de la fin de son second mandat, et en chute libre dans les sondages, le Président Touadéra semble prêt à tout pour se maintenir au pouvoir, même à envoyer son pays droit dans le mur. En signant cet accord, il donne l’impression de se moquer ouvertement des victimes de ces groupes armés, préférant pactiser avec les bourreaux plutôt que de rendre justice aux familles endeuillées.

Sous le règne de Touadéra, la politique de l’État centrafricain est marquée par une lâcheté flagrante et une justice inexistante. L’impunité règne en maître, permettant aux responsables des groupes armés d’être systématiquement récompensés par des postes ministériels juteux. Des figures comme le rebelle Hassan Bouba et Djoubaye Abazène en sont des exemples frappants. Cette situation crée un sentiment d’injustice profond parmi la population, qui voit ses bourreaux non seulement échapper à la justice, mais aussi être récompensés par Touadéra.

La République Centrafricaine est devenue une « République des groupes armés », où ces derniers font la pluie et le beau temps. Le Président Touadéra, est désormais perçu par de nombreux observateurs africains comme une marionnette de ces groupes, et est incapable de s’opposer à leur influence. Pire encore, il envoie ses ministres et conseillers déclarer publiquement qu’il ne peut pas s’asseoir à la même table que l’opposition pour dialoguer, mais s’empresse de s’assoir à la même table avec les meurtriers du peuple centrafricain pour signer des accords bidons.

Avec Touadéra, les diplômes universitaires n’ont plus aucune valeur. Après leurs études, les étudiants diplômés se retrouvent souvent contraints de devenir taxi-moto ou gérants de cabines téléphoniques. Pendant ce temps, les rebelles incultes, sont nommés à des postes ministériels et autres fonctions juteuses. Cette injustice flagrante alimente la frustration et le désespoir parmi la jeunesse éduquée du pays.

Face à cette politique criminelle, le peuple centrafricain doit désormais prendre ses responsabilités. Il est impératif de se mobiliser pour exiger justice et mettre fin à cette camaraderie officielle entre le Président Touadéra et les groupes armés. La communauté internationale doit également se saisir de ce dossier et envisager des sanctions contre Touadéra, qui, par ses actions, s’associe aux groupes armés pour verser le sang de son propre peuple et pourquoi pas avec mandat d’arrêt international ?

Des mandats d’arrêt internationaux ont déjà été émis contre des dirigeants en fonction, comme Benjamin Netanyahu ou Vladimir Poutine. Pourquoi pas contre Faustin Archange Touadéra ?

La communauté internationale doit agir rapidement pour mettre fin à cette situation intolérable et rendre justice aux victimes centrafricaines. Affaire à suivre…

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