Depuis huit ans, le Président Faustin Archange Touadera tient le peuple centrafricain sous une poigne de fer. Il ne dirige plus, il écrase. Il ne gouverne plus, il se sert. La réalité est cruelle car ce président ne pense plus au bien de son peuple, il ne pense qu’à lui, à s’éterniser au pouvoir, quitte à même marcher sur les corps de ce peuple qui l’a élu.
Pendant que lui et ses proches vivent dans le confort à Bangui, la majorité des Centrafricains vit sans eau potable, sans électricité, sans soins, sans routes, sans écoles. Les hôpitaux sont en ruine, les enfants étudient assis à même le sol, les femmes accouchent dans des conditions inhumaines. Et dans les provinces, c’est encore pire avec la faim, l’insécurité, la peur des Wagner. Le pays est à l’abandon.
Ce n’est plus une simple mauvaise gouvernance. C’est un mépris total pour la vie humaine. Pire encore, ceux qui osent parler, ceux qui dénoncent, sont frappés, arrêtés, kidnappés.
Des vidéos sur les réseaux sociaux montrent l’horreur, des Centrafricains, des femmes battues comme des chiens avec leurs enfants dans la main par les miliciens Requins du régime, par les mercenaires russes de Wagner, par les soldats rwandais. Et Touadera laisse faire. En plus, il les protège. Il a transformé la République Centrafricaine en un terrain de chasse pour des étrangers sans foi, ni loi et le peuple centrafricain en est le gibier.
Les mines, les richesses, l’or, le diamant… tout est bradé. Touadera donne les ressources du pays aux Russes et aux soldats Rwandais comme si c’était son héritage personnel. Il n’y a pas de contrat clair, pas de bénéfices pour la population. Juste du pillage, du vol en plein jour. Et en échange ? Ils lui garantissent son pouvoir, ils l’aident à garder son fauteuil pour l’éternité. Voilà la vérité.
Aujourd’hui, le peuple centrafricain vit dans une dictature qui ne dit pas son nom. Les prisons sont pleines d’innocents. Les opposants disparaissent. La peur est partout. Le pays vit dans la terreur. Et Touadera ose encore parler d’un 3e mandat ? C’est une insulte. Un affront au peuple centrafricain.
Où sont partis les 5 verbes : loger, nourrir, vêtir, instruire, et soigner, du Président Fondateur Barthélémy Boganda ?
Un vrai président protège son peuple. Touadera, lui, l’affame. Il frappe ses propres frères pour faire plaisir à des étrangers. Il sacrifie l’avenir des enfants pour garder son trône. C’est une trahison pure et simple. Une honte.
Aujourd’hui, la Centrafrique est isolée. La communauté internationale ne veut plus entendre parler de ce régime. Les institutions financières tournent le dos. Et pendant ce temps, Touadera s’accroche, comme une sangsue.
La communauté internationale ne peut plus détourner les yeux. Elle ne peut plus rester silencieuse face à ce régime de terreur. Il est temps d’exiger que le président Touadera soit traduit devant la Cour pénale internationale (CPI) pour crimes contre son peuple. Les exactions, les violences, les arrestations arbitraires, les pillages et la répression doivent être jugés. La souffrance du peuple centrafricain mérite justice. Il est temps que la loi internationale s’applique, que l’impunité cesse, et que les bourreaux rendent des comptes.
Le peuple centrafricain a trop souffert. Trop pleuré. Trop saigné. Il mérite mieux qu’un dirigeant qui le vend au plus offrant. Il mérite un vrai chef, un patriote, pas un bourreau.
Il est temps de dire stop. Trop, c’est trop.